Manoir de Saint-Hubert

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avec Château de Saint-Hubert (Le Perray-en-Yvelines).

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Saint-Hubert et Château de Saint-Hubert.

Cet article est une ébauche concernant l’Allier, le tourisme et les châteaux de France.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.

Château de Saint-Hubert
Période ou style Style régionaliste XIXe siècle
Type Manoir
Propriétaire initial Pierre Camus (-)
Destination initiale Habitation
Destination actuelle Monastère
Coordonnées 46° 25′ 56″ nord, 2° 57′ 49″ est
Pays Drapeau de la France France
Région historique Bourbonnais
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Commune Chavenon
Géolocalisation sur la carte : Allier
(Voir situation sur carte : Allier)
Château de Saint-Hubert
Château de Saint-Hubert
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château de Saint-Hubert
Château de Saint-Hubert
modifier 

Le manoir de Saint-Hubert est un monastère orthodoxe rattaché au patriarcat de Moscou ; il est situé à Chavenon dans l'Allier.

Description

Le site est intéressant surtout pour son parc, témoignage du savoir-faire de la famille Treyve[1] et de l'influence de Paul de Lavenne, comte de Choulot sur l'art paysager.

Histoire

Saint-Hubert était l'ancien pavillon de chasse du château de Laly au Montet ; il fut agrandi et transformé au XIXe siècle par son propriétaire de l'époque[2]. Ces modifications se sont également accompagnées de la création d'un parc de style naturaliste dessiné et réalisé par une des générations de la "dynastie" de paysagistes vichyssois, les Treyve[3], disciples des théories du comte de Choulot, architecte notamment du parc du Vésinet[4]. À la suite de ces travaux, il est nommé habituellement manoir ou château, mais constitue plutôt une maison bourgeoise entourée de dépendances agricoles ; il a été transmis ensuite par héritage à la famille Favardin, puis à la famille Piat et enfin à la famille Michelon. Il est devenu en 2006, selon le souhait des descendants actuels de la famille qui en était propriétaire, un monastère orthodoxe rattaché au patriarcat de Moscou[5],[6],[7]. Le monastère orthodoxe de l'icône de la Mère de Dieu Znaménié, à Marcenat (Cantal), au lieu-dit La Traverse[8], a supervisé la création d'un monastère orthodoxe à Saint-Hubert.

Articles connexes

Notes et références

  1. Thèse de Roland Vidal, Imaginaire et réalités dans une station balnéaire des côtes d'Armor, Sables-d'Or-les-Pins (doctorat en science de l'environnement, ENGREF Paris, 12 mars 2003) « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  2. Pierre Camus (-), parent du général Louis-Auguste Camus de Richemont baron d'Empire.
  3. Les Treyve, une dynastie bourbonnaise de paysagistes (exposition temporaire 2007 au château du Riau, à Villeneuve-sur-Allier.
  4. Domaine de l'Isle-Briand.
  5. Diocèse de Chersonèse.
  6. SOP Service orthodoxe de presse.
  7. La France orthodoxe.
  8. Photographies du monastère orthodoxe de l'icône de la Mère de Dieu Znaménié.
  • icône décorative Portail des châteaux de France
  • icône décorative Portail de l’architecture et de l’urbanisme
  • icône décorative Portail de l’Allier et du Bourbonnais
  • icône décorative Portail du monachisme
  • icône décorative Portail du christianisme orthodoxe