Jules Greenbaum
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Jules Greenbaum
| Naissance | ou  Berlin |
|---|---|
| Décès | Berlin |
| Nationalité | allemande |
| Activité | |
| Enfant | Mutz Greenbaum |
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Jules Greenbaum (né Julius Grünbaum[1] le à Berlin, Prusse; mort le (à 57 ans) à Berlin, République de Weimar) fut un producteur et l'un des pionniers du cinéma allemand, connu pour ses expérimentations dans le cinéma parlant, 20 ans avant le succès du Chanteur de jazz.
Biographie
Jules Greenbaum inventa le synchronoscope[2] ou synchroscope[3], qui synchronisait les images d'un film avec un phonographe[4].
En tant que producteur, Jules Greenbaum fonda la Greenbaum-Film, la Deutsche Bioscope (1899) et la Deutsche Bioscope GmbH (1902)[5], lançant des cinéastes tels que Max Mack et Richard Oswald.
Jules Greenbaum est le père de Mutz Greenbaum, directeur de la photographie, producteur, réalisateur et scénariste allemand.
Filmographie partielle
- 1915 : Lache, Bajazzo! de Richard Oswald
- 1916 : Schloss Phantom de Ernst Mátray
- 1918 : Lorenzo Burghardt de William Wauer
Liens externes
- Notices d'autorité
: - VIAF
- GND
« Jules Greenbaum » (présentation), sur l'Internet Movie Database
Notes et références
- ↑ (en) Randall Halle, Margaret McCarthy, Light Motives: German Popular Film in Perspective, Wayne State University Press, 2003 : https://books.google.fr/books?id=AQmducGXm1MC&pg=PT39&dq=%22Jules+Greenbaum%22&hl=fr&sa=X&ei=YZgTU8TnFIrJ0QXZpoGYAw&redir_esc=y#v=onepage&q=%22Jules%20Greenbaum%22&f=false
- ↑ (fr) Dominique Nasta, Didier Huvelle, Le son en perspective: nouvelles recherches, Peter Lang, 2004 : https://books.google.fr/books?id=YJ4f2d-a9OkC&pg=PA119&dq=vitascope+greenbaum&hl=fr&sa=X&ei=HZ4TU_rnE-Ky0QXo84C4BQ&redir_esc=y#v=onepage&q=vitascope%20greenbaum&f=false
- ↑ (en) Scott Eyman, The Speed of Sound: Hollywood and the Talkie Revolution 1926-1930, Simon and Schuster, 13 mars 1997 : https://books.google.fr/books?id=Vc-SjHBM-DcC&pg=PA29&dq=%22Jules+Greenbaum%22&hl=fr&sa=X&ei=YZgTU8TnFIrJ0QXZpoGYAw&redir_esc=y#v=onepage&q=%22Jules%20Greenbaum%22&f=false
- ↑ (en) Hans-Michael Bock, Tim Bergfelder, The Concise Cinegraph: Encyclopaedia of German Cinema, Berghahn Books, 2009 : https://books.google.fr/books?id=z7gFT_Duq1cC&pg=PA166&lpg=PA166&dq=%22Jules+Greenbaum%22&source=bl&ots=Icief4-BO1&sig=7GYM9hYH5TMAYDmUP2CqV-Lo6GI&hl=fr&sa=X&ei=RZgTU6i_FYSc0QWF0oCgDA&redir_esc=y#v=onepage&q=%22Jules%20Greenbaum%22&f=false
- ↑ (en) IMDB : https://www.imdb.com/name/nm0338466/?ref_=fn_al_nm_1
Source de la traduction
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Jules Greenbaum » (voir la liste des auteurs).
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