Ligne de Toulouse à Cadours

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Ligne de
Toulouse à Cadours
Historique
Mise en service 1903
Fermeture 1946 – 1947
Concessionnaire CFSO
Caractéristiques techniques
Longueur 63,1 km
Écartement métrique (1,000 m)
Électrification Non électrifiée
Schéma de la ligne
Légende
0 Toulouse-Roguet
0,3 Patte d'Oie Bif. vers Boulogne-sur-Gesse et Sainte-Foy-de-Peyrolières
4,4 Pont sur le Touch
5,0 Blagnac
9,0 La Sabatière
11,1 Cornebarrieu
11,45 Pont sur l'Aussonnelle
15,1 Aussonne
16,4 Mondonville
18,8 Daux
20,0 Merville
20,7 Fourtous
23,0 Montaigut
25,5 Grenade
27,0 Lévignac
Fin de la branche de Lévignac
31,2 Saint-Cézert
35,5 Launac
Pont sur le ruisseau de Claoué
Pont sur le ruisseau de Rabin
39,0 Galembrun
Pont sur le ruisseau de Lahite
Pont sur le ruisseau de Marguestaud
42,6 Drudas
45,4 Pont sur le ruisseau de Pradets
45,5 Puysségur
45,7 Pont sur le ruisseau de Péringle
47,7 Cadours
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La ligne de Toulouse à Cadours est une ancienne ligne du réseau de la compagnie des chemins de fer du Sud-Ouest.

Histoire

la ligne a été en service de 1903 à 1947[1].

Caractéristiques

D'une longueur de 48 km, la ligne était à voie métrique.

Tracé

La ligne partait de la gare de Toulouse-Roguet, située dans le quartier Saint-Cyprien entre les actuelles stations de métro Patte d'Oie et Saint-Cyprien – République, au droit de l'arrêt de bus Tisséo Roguet, perpendiculairement à l'avenue de Lombez.

La ligne desservait les communes de Blagnac (Gare de Blagnac), Cornebarrieu (Gare de Cornebarrieu), Aussonne (Gare d'Aussonne), Mondonville (Gare de Mondonville), Daux (Gare de Daux), Merville (Gare de Merville), Montaigut-sur-Save (Gare de Montaigut-sur-Save), Grenade (Gare de Grenade), Lévignac (Gare de Lévignac), Saint-Cézert (Gare de Saint-Cézert), Launac (Gare de Launac), Drudas (Gare de Drudas), Puysségur (Gare de Puysségur) et Cadours (Gare de Cadours)[2].

Vestiges

De nombreuses gares sont encore présentes et réaffectées à une utilisation privée[3]. Certains chemins et routes ont repris le tracé des anciennes voies.

La gare Roguet a quant à elle été détruite pour donner lieu à la construction de la cité Roguet. La courbe d'accès à la gare depuis l'avenue de Lombez reste clairement visible au niveau de la rue.

Notes et références

  1. ↑ « Liste des chemins de fer secondaires | FACS », sur www.facs-patrimoine-ferroviaire.fr (consulté le )
  2. ↑ Fabrice, « CFSO - Tracé de Toulouse-Roguet à Cadours », sur trainsdumidi.com, (consulté le ).
  3. ↑ M. B., « L'histoire insolite de la gare », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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