Gustave Loustalot

Cet article est une ébauche concernant un homme politique français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Pour les articles homonymes, voir Loustalot.

Fonctions
Gustave Loustalot

Député français
2 juillet 1871 – 14 octobre 1893 (22 ans, 3 mois et 12 jours)
Circonscription	Landes
Législature	Assemblée nationale I^re (Troisième République) II^e (Troisième République) III^e (Troisième République) IV^e (Troisième République) V^e (Troisième République)
Groupe politique	Gauche républicaine
Maire de Dax
12 avril 1880 – 21 février 1881 (10 mois et 9 jours)
Prédécesseur	Eugène Gardillane
Successeur	Hippolyte Sintas
Conseiller général des Landes
1871 – 1878 (7 ans)
Circonscription	Canton de Dax
Prédécesseur	Émile Darracq
Successeur	Eugène Gardillane
1880 – 1886 (6 ans)
Circonscription	Canton de Dax
Prédécesseur	Eugène Gardillane
Successeur	Hippolyte Sintas
Biographie
Date de naissance	4 janvier 1826
Lieu de naissance	Dax (Landes
Date de décès	15 juillet 2021 (à 195 ans)
Lieu de décès	Dax (Landes
Nationalité	Français
Profession	Avocat


Maire de Dax
modifier

Gustave Loustalot est un homme politique français né le 4 janvier 1826 à Dax (Landes) et décédé le 27 juillet 1898 à Dax.

Présentation

Avocat à Dax, conseiller municipal, il est un opposant au Second Empire. Sous-préfet de Dax après le 4 septembre 1870, il est député des Landes de 1871 à 1877, de 1878 à 1885 et de 1886 à 1893, siégeant au groupe de la Gauche républicaine. Il est l'un des 363 qui refusent la confiance au gouvernement de Broglie, le 16 mai 1877. Il est aussi conseiller général du canton de Dax en 1871. Il est le père de Louis Loustalot, député des Landes.

Notes et références

Voir aussi

Sources

« Gustave Loustalot », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
« Gustave Loustalot », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]